Abriel concède la supériorité de l’OL sur le PSG | OneFootball

Abriel concède la supériorité de l’OL sur le PSG | OneFootball

Icon: Olympique-et-Lyonnais

Olympique-et-Lyonnais

·19. Januar 2025

Abriel concède la supériorité de l’OL sur le PSG

Artikelbild:Abriel concède la supériorité de l’OL sur le PSG

Contre l'OL, le PSG a été incapable de rivaliser. Si au match aller, les absences avaient pu expliquer cet écart, Fabrice Abriel avoue que les Fenottes sont un cran au-dessus.

Comment analysez-vous cette défaite du PSG contre l'OL (0-2) ?

Fabrice Abriel : Généralement, je n’interviens pas à chaud. Je laisse la température redescendre. J’analyse les stats et les séquences pour avoir un avis sur lequel s’appuyer pour avancer. On a fait des choses bien, mais aussi des choses à améliorer.


OneFootball Videos


Quel était le plan de jeu ?

On avait l’envie de créer le doute dans cette équipe qui venait de se faire éliminer en Coupe de France. On avait un plan de jeu tout en nous appuyant sur les nombreux spectateurs présents ce soir. Tout change quand on prend ce but dès le début de match. Psychologiquement, on sait que tout ce qu’on a mis en place ne tient plus et qu’il va falloir aller les chercher. Après le deuxième but, c’est pareil.

Que retenez-vous de positif ?

On a respecté le plan de jeu en deuxième période. J’ai trouvé qu’elle était assez intéressante. Même si on s’est créé peu d’occasions de but pour faire la différence. Nous avons fait mieux dans la possession de balle dans nos matchs précédents. Nous étions autour de 600 passes alors que ce (samedi) soir, on était autour de 400. C’est nettement moins. Mais ces stats sont pareilles pour Lyon.

"L'OL était plus fort individuellement"

Jouer devant plus de 20 000 personnes a été un désavantage au final ?

Sur certaines de nos jeunes joueuses, il y a eu du stress. Mais nous avons aussi des joueuses d’expérience pour compenser. On sait qu’on a l’équipe la plus jeune d’Europe. Nous sommes là pour essayer d’améliorer les conditions de jeu. Ce (samedi) soir, on a senti un peu de timidité. Sans parler de joueuses comme Chawinga, qui a eu des contres favorables. En face, l’adversaire était plus fort individuellement.

Estimez-vous qu’il y a une classe d’écart entre le PSG et l’OL ?

Si je vous dis qu’il y a peu d’écart entre Lyon et Paris, vous me direz qu’il faut que je me raisonne. Maintenant, sur un match, il peut se passer beaucoup de choses. On l’a vu la semaine passée avec Reims qui a éliminé Lyon. Mais sur le long terme, c’est compliqué de rivaliser sur une saison.

Est-ce que cette saison est déjà ratée ?

On fera le bilan à la fin de la saison. On avait des objectifs élevés. Quand on se fait sortir d’une compétition comme la Ligue des champions, forcément cela réduit la possibilité d’atteindre nos objectifs. Maintenant, la situation actuelle n’incombe pas à une personne, mais à un collectif. Le club fait tout pour être au contact de tout ce qu’on peut être. Même si c’est vrai que ce sont des moments difficiles actuellement.

Impressum des Publishers ansehen