Andy Carroll : « J’étais tout seul au milieu des supporters, avec mon burger. Je me sentais comme un adulte. C’était génial » | OneFootball

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·16. November 2024

Andy Carroll : « J’étais tout seul au milieu des supporters, avec mon burger. Je me sentais comme un adulte. C’était génial »

Artikelbild:Andy Carroll : « J’étais tout seul au milieu des supporters, avec mon burger. Je me sentais comme un adulte. C’était génial »

Dans Sud Ouest, l’attaquant des Girondins de Bordeaux, Andy Carroll, a raconté le jour où il a été abonné pour suivre son club de cœur, à savoir Newcastle.

« Je voulais un abonnement depuis longtemps, mais mes parents n’avaient pas les moyens. À l’époque, ça devait coûter environ 250 livres. Ils ont économisé et ont fini par me l’offrir. Rien que pour moi ! Je devais avoir 13 ou 14 ans. Mon cousin, du même âge, avait aussi un abonnement, dans une autre tribune. Mes parents nous emmenaient tous les deux, on allait regarder le match chacun de notre côté, et on rentrait ensemble. J’étais tout seul au milieu des supporters, avec mon burger. Je me sentais comme un adulte (sourire). C’était génial. Au bout de deux ou trois ans, le club (où il était formé, NDLR) nous donnait deux billets par match, et je pouvais emmener mon père ou ma mère. »

Dans So Foot, il avait raconté sensiblement la même chose, avec plus de détails.


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« A l’époque, nous n’habitions pas trop loin de Saint James Park. J’ai signé avec Newcastle quand j’avais 7 ans, et je me souviens de mon premier abonnement. J’avais environ 14 ans. Nous ne pouvions nous permettre qu’un seul season ticket pour la famille, alors on a opté pour le billet pour enfant, qui devait revenir, je pense, 150 livres moins cher que l’abonnement adulte. Donc, j’allais au stade tout seul. Enfin, j’y allais avec mon cousin, qui a le même âge que moi, et nous marchions de Gateshead jusqu’au stade en passant par le pont. C’était à peu près trente minutes de marche, bien que l’on pouvait apercevoir le stade depuis notre maison. Je rentrais à pied, sauf si c’était un match de nuit. Là, ma mère venait me chercher au coup de sifflet final ».

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Photo Pierrick Chassine

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