FC Nantes - Deux supporters condamnés à de la prison pour violences aggravées sur une famille fan de l'OM | OneFootball

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·20. März 2025

FC Nantes - Deux supporters condamnés à de la prison pour violences aggravées sur une famille fan de l'OM

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Deux supporters ont été condamnés à 14 mois de prison avec sursis, à cause du match FC Nantes - OM de septembre 2023.

Le 1er septembre 2023, le match entre le FC Nantes et l'OM avait fait couler beaucoup d'encore. En effet, un couple et son fils de 6 ans, originaires de Loire-Atlantique mais fans de l'OM, avaient été pris pour cible en tribunes : insultes, crachats et jets de bière. En fin de première période, le père de famille avait même subi un infarctus du myocarde, avec 33 jours d'ITT. Un cardiologue avait notamment fait un "lien direct" entre le "stress aigu" des insultes et l'arrêt cardiaque. À la fin du mois de janvier, lors du procès, le procureur a requis seize et quatorze mois de prison avec sursis pour les deux accusés, pointant du doigt une "colère bestiale" et un "état d'esprit grégaire". "Tous les auteurs n’ont pas été interpellés, l’enquête n’a pas permis de les identifier et c’est regrettable" a-t-il déclaré.


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Deux supporters condamnés à 14 mois de prison avec sursis

Ce jeudi, deux supporters ont été condamnés à 14 mois de prison avec sursis par le tribunal correctionnel pour des violences aggravées. Les deux hommes, âgés de 22 et 50 ans, n'étaient pas présents lors du délibéré et ont aussi écopé d'une interdiction de stade pour une durée de trois ans. "Ce qui est particulièrement important pour la famille, c’est l’interdiction de stade. Au-delà de la sanction pénale, dont on ne se réjouit pas en tant que telle, ce qui est important dans ce type d’affaires c’est qu’un message fort soit envoyé: que l’on comprenne qu’une enceinte sportive, c’est un lieu de loisirs, un lieu de compétition. Ce n’est pas un octogone ou un terrain de catch. La violence n’a pas sa place dans une enceinte sportive" a lâché Me Etienne Boittin, avocat de la famille, à l’issue du jugement. Un troisième prévenu doit comparaître le 21 janvier 2026.

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