La réponse XXL de l'Atlético Madrid au Barça pour Julian Alvarez | OneFootball

Le président des Colchoneros a pris la parole pour répondre à l'intérêt du FC Barcelone pour son attaquant star, Julian Alvarez. Il a été l'auteur d'une déclaration très pimentée au sujet de l'avenir de son joueur.

C'est un secret de polichinelle, le FC Barcelone souhaite recruter Julian Alvarez. Les hommes d'Hansi Flick ont réalisé une très belle saison, montrant un niveau impressionnant sur le plan offensif. Toutefois, Robert Lewandowski, meilleur buteur du club, avec 40 buts en 51 rencontres disputées toutes compétitions confondues, arrivera en fin de contrat à l'issue de la saison prochaine.

Si les ailes, occupées par les très percutants Lamine Yamal et Raphinha semblent déjà assurées pour les prochaines années, il faudra donc trouver un remplaçant à l'attaquant polonais. C'est pour cela que la direction barcelonaise souhaiterait s'attacher les services de Julian Alvarez, qui a connu une adaptation express à la Liga, tout en ayant ciblé une autre priorité en attaque.

Arrivé l'été dernier à l'Atlético Madrid en provenance de Manchester City, l'avant-centre argentin a inscrit 29 buts en 53 matchs cette saison. Des débuts très prometteurs, qui attirent donc l'attention d'autres clubs du championnat. Mais la direction des Colchoneros a pris la parole pour assurer que le joueur ne devrait pas partir.

Les propos forts du président de l'Atlético sur Alvarez

Enrique Cerezo, président de l'Atlético Madrid, a pris la parole pour défendre les intérêts de son club, et expliquer que Julian Alarez n'était pas près de quitter le club :

Cette première déclaration a été suivie d'une autre, très sarcastique, lorsqu'on lui a parlé de l'intérêt de Joan Laporta, président du Barça, pour son joueur :

Il faisait évidemment référence à Lamine Yamal, joueur qui réalise une saison phénoménale avec le Barça. Les dirigeants du FC Barcelone sont donc avertis, l'Atlético Madrid n'est pas vendeur, et rien ne garantit qu'une grosse offre financière suffise à faire changer d'avis Enrique Cerezo, qui a plusieurs fois refusé à certains joueurs de partir.

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