Jean-Louis Gasset : « Ma plus grande peur ? La maladie. On voit différentes fins, la brutale, la longue durée… Je choisis la brutale » | OneFootball

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·4 February 2025

Jean-Louis Gasset : « Ma plus grande peur ? La maladie. On voit différentes fins, la brutale, la longue durée… Je choisis la brutale »

Article image:Jean-Louis Gasset : « Ma plus grande peur ? La maladie. On voit différentes fins, la brutale, la longue durée… Je choisis la brutale »

Pour Villes Lumières, l’ancien entraineur des Girondins de Bordeaux, Jean-Louis Gasset, a été questionné sur ce qui le rend le plus fier dans sa carrière d’entraineur.

« C’est un tout. Faire de sa passion son métier, déjà. C’est un privilège. Travailler beaucoup. Avoir une passion, mais travailler à l’école. Aujourd’hui, je suis en manque de ne pas parler anglais ou espagnol, parce que ça sert. Et après, c’est à 32 ans que je suis allé passer les diplômes… Je suis retourné à l’école à 32 ans, parce que quand j’étais jeune il n’y avait que le foot qui hantait mes nuits, et l’école c’était secondaire. Ça, c’est faux. Le conseil, c’est d’être humble et de travailler. En tout cas, je reste moi-même, j’essaye avec mes qualités et mes défauts de faire ce que je fais bien. Je n’aime pas les gens qui veulent sur-jouer… Je suis moi ».

Et pour être heureux, il y évoque le bonheur de sa famille. Sans oublier les résultats dans le foot également, évidemment…


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« Avoir sa famille en bonne santé, très unie… Et dans le métier, gagner le plus de matches possibles, mais surtout arriver à l’objectif. Même s’il est difficile… Tant qu’il y de l’espoir, des points, des matches, il faut se dire qu’on va y arriver. Quelqu’un qui a une maladie, à qui l’on donne un traitement, s’il est mentalement fort, il va passer. Bien sûr qu’il y aura des nuages, des éclairs, comme quand on est dans l’avion et que ça bouge, mais tout d’un coup le soleil revient. Cela revient toujours, quand tu le mérites ».

Sur le même thème, ou presque, il y évoqua sa plus grande peur : la façon dont il pourrait quitter ce monde.

« Ma plus grande peur ? La maladie. Mon plus grand rêve, c’est de finir dans le plus longtemps possible, mais en bonne santé. La maladie… On voit différentes fins, la brutale, la longue durée… Je choisis la brutale ».

On espère le plus tard possible, tant des personnes comme Jean-Louis, ne peuvent que faire du bien à ce monde.

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