Sylvain Wiltord : « Mon surnom ? Il vient de Nino Brown » | OneFootball

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·13 March 2025

Sylvain Wiltord : « Mon surnom ? Il vient de Nino Brown »

Article image:Sylvain Wiltord : « Mon surnom ? Il vient de Nino Brown »

A l’occasion d’un diner de Noël, le « Diner des Légendes » du Stade Rennais, l’ancien attaquant des Girondins de BordeauxSylvain Wiltord, s’est souvenu l’origine de son surnom, « Nino ».

« Mon surnom vient d’un des premiers films qu’on est allés voir au centre de formation (New Jack City, avec Wesley Snipes, ndlr). Quand on est sortis du cinéma, le Sylvain que j’étais, un peu nonchalant, un peu branleur, a fait qu’on a dit ‘ah, ça te ressemble un petit peu’. Et depuis, les vrais rennais, à l’ancienne, m’appellent Nino. L’anti-héros s’appelait Nino Brown (rires) ».

Stéphane Grégoire, ancien joueur du Stade Rennais, a fait une confidence, qui a ému l’ancien attaquant bordelais.


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« J’ai une anecdote…. Mon troisième fils est né à Rennes, et il s’appelle Nino. Oui, par rapport à Sylvain. A l’époque, effectivement, cela faisait un an que Sylvain était parti, et il y avait encore des banderoles quand il revenait jouer. Et c’est vrai qu’on appréciait ce prénom avec ma femme. Aujourd’hui, il a 24 ans, et il s’appelle Nino (sourire) ».

Article image:Sylvain Wiltord : « Mon surnom ? Il vient de Nino Brown »

Enfin, toujours par rapport à son passage au SRFC, Sylvain Wiltord donna les joueurs à Rennes qui l’ont marqué.

« Moi, Jocelyn Gourvennec. Joce, c’est un technicien, c’était très, très, très fort. Elégant. Aux entrainements, il me disait toujours ‘fais toujours une bonne passe’. L’entrainement, ce n’est pas pareil qu’un match, mais il me disait ‘fais une bonne passe à l’entrainement, et tu auras l’habitude de faire des bonnes passes en match’. Et le deuxième joueur qui m’a marqué, c’est Stéphane Guivarc’h. Je suis attaquant, je le regardais, cadrer… Il arrivait à l’entrainement, direct, sans échauffement, il frappait au but. Et il a fini deux fois meilleur buteur, une fois à Auxerre, et une fois à Rennes. Impressionnant. Je suis devant, je regardais tous les entrainements spécifiques qu’il faisait, et j’étais impressionné. Il a mérité sa place à la Coupe du Monde 1998, même s’il n’a pas été payé, et c’est dommage. Ce sont les deux joueurs qui m’ont marqué au Stade Rennais ».

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