FC Metz – Stéphane Le Mignan avant Ajaccio : « On commence à avoir une attaque et un jeu offensif intéressants » | OneFootball

Progressivement, le FC Metz (2e) a trouvé son rythme cette saison en Ligue 2. Les Grenats l’ont emporté en marquant à trois reprises lors de quatre de leur cinq derniers matchs et pointent aujourd’hui à une alléchante seconde place synonyme de montée directe. Avec un petit point d’avance sur le Paris FC (3e) et onze matchs à disputer, tout reste évidemment à faire pour les Lorrains. Mais l’entraîneur messin, Stéphane Le Mignan, s’est tout de même réjoui de voir l’évolution positive de son équipe en amont de la 24e journée prévue ce samedi (20h) face à Ajaccio (13e).

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Un point sur l’infirmerie

« L’absent, ce sera Aboubacar Lô, qui a toujours mal au dos. Il a un peu de mal à avancer, il n’a pas repris l’entraînement collectif ou individuel. Il est plutôt en soin, ça traîne un petit peu, c’est embêtant. Et puis le jeune Joseph Mangondo qui est en phase de reprise. Il était avec nous sur le terrain ce matin (jeudi). Ce sont les seuls joueurs qui seront absents. »

L’adversaire ajaccien

« Ajaccio, ce n’est pas la même équipe qu’il y a cinq semaines. Ils sont sur des résultats qui sont quasiment similaires aux nôtres avec quatre victoires sur les cinq derniers matchs, dont deux victoires consécutives à l’extérieur à Rodez (2-1) et Clermont (1-0). Déjà à l’aller, on avait fait un match difficile, ils nous avaient secoué. On avait été gagné là-bas 1-0, mais ça avait été à l’arrache. Ils ont gagné 3-0 contre Laval la semaine passée, ce n’est plus la même équipe. On est sur une bonne dynamique, mais eux aussi. »

La forme du moment

« On a récupéré un attaquant avec Idrissa Gueye, c’est la première chose. On a modifié un peu les positionnements de certains joueurs, ce qui fait qu’on a aujourd’hui un peu plus de joueurs quand on attaque. Avec, en plus, un profil athlétique qui est plus important par rapport à la phase aller. Ce sont deux éléments importants. Au niveau du jeu, je pense qu’on est mieux. On assimile des choses. Derrière on avance, on amène plus facilement le ballon devant. Tous ces ingrédients font que l’on commence à avoir une attaque et un jeu offensif intéressants […] On a des idées au départ quand on arrive dans un endroit. Les joueurs on les connaît, mais pas aussi bien que maintenant, on vit au quotidien avec eux depuis six ou sept mois. On apprend aussi à mieux les connaître au niveau du jeu, et forcément, il y a des affinités ou des relations techniques qui s’améliorent. »

Photo Dave Winter/FEP/Icon Sport