Fortes tensions entre Albert Riera et l’entraineur de la Fiorentina jeudi soir : “Il m’a dit que je parlais trop” | OneFootball

« Je ne veux pas dire du mal de mon collègue. Nous sommes une équipe slovène à 13 millions d’euros, et ils valent 300 millions d’euros. Quand je suis allé lui serrer la main, il m’a dit que je parlais trop. Qu’aurais-je dû lui dire ? Qu’il est beau et fort ? Il doit comprendre qu’il est plus jeune que moi et qu’il a beaucoup à apprendre. Ce n’était pas un bon moment, mais le football offre toujours une seconde chance. Peut-être que la prochaine fois, j’aurai une équipe à 300 millions d’euros et lui, une équipe à 13 millions d’euros. Je n’ai pas aimé ce qu’il a dit. Et avec un tel état d’esprit, on ne gagne pas grand-chose ».

« Le talent est partout, y compris en Slovénie. Il suffit d’avoir le bon état d’esprit. J’ai dit aux gars : vous avez atteint les quarts de finale, vous l’avez fait. Vous n’êtes pas arrivés ici par hasard. Vous avez pressé haut, vous avez joué votre jeu […] C’est toujours une saison incroyable pour l’équipe. Mais il nous reste une compétition de coupe (demi-finale contre Olimpija jeudi prochain, ndlr), que nous devons gagner pour effacer les erreurs du championnat. Nous pouvons encore terminer deuxièmes. Même une équipe slovène majoritairement slovène peut jouer de manière compétitive face à des géants comme la Fiorentina. Nous avons une équipe de qualité, des Slovènes de qualité, et nous devons nous appuyer sur cela. »

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