La victoire du Real Madrid face à l’Atlético agite le monde entier | OneFootball

La presse mondiale salue et titre le succès du Real Madrid face à l’Atlético (2-1) en huitième de finale aller de la Ligue des Champions. Dithyrambique, focus sur certains joueurs ou encore prudence, les différents journaux du globe ont tous eu leur mot à dire.

Brahim à foison

Les Unes des journaux sportifs du monde entier mettent en lumière le spectacle offert au Santiago Bernabéu. Le média portugais A Bola et Golobesporte résume la rencontre comme « La nuit des beaux buts », tandis que le journal allemand Bild parle de « Fête face à l’Atlético ». Côté français, L’Équipe titre sur l’habitude madrilène « Cela pouvait-il se passer autrement ? ». En Italie, La Gazzetta dello Sport avertit que « L’Atletico est là », laissant présager un retour ouvert au Riyadh Air Metropolitano.

Si la courte victoire madrilène place le Real Madrid en position favorable, les projecteurs se braquent sur Brahim Díaz. Selon quotidien espagnol AS, l’Hispano-Marocain est le grand héros de beaucoup de journaux, à l’image de Bild qui salue « une grande fête grâce à Brahim ». À l’inverse, Tuttosport encense Brahim, mais pointe plus la déception autour du numéro 9 madrilène : « Mbappé était la seule note discordante« .

Prudence et mesure

Si le Real Madrid aborde le match retour avec un léger avantage, la presse reste prudente. La Gazzetta dello Sport rappelle que « l’Atlético reste dans la course », tandis que Olé annonce une bataille « à tout ou rien » le 12 mars prochain au Metropolitano. Le Real devra s’appuyer sur ses individualités, et un meilleur collectif sera nécessaire, pour éviter une mauvaise surprise.

Décevant au Bernabéu, Mbappé devra montrer un autre visage. Son absence des Unes contraste avec son statut. Lors du dernier match européen du Real Madrid face au City de Guardiola, il avait pourtant fait toutes les unes. Face à un Atlético toujours menaçant, la presse étrangère n’attend que de mettre le Français pour mener le Real vers la qualification, et en constituer sa Une.

Edgar Yon