Olympique-et-Lyonnais
·19 de mayo de 2025
Ligue 1 : meilleure affluence moyenne dans l’histoire du Parc OL cette saison

Olympique-et-Lyonnais
·19 de mayo de 2025
Face à Angers (2-0), ce samedi, le Parc OL a enregistré une belle affluence de 56 517 spectateurs pour la dernière d’Alexandre Lacazette sous le maillot lyonnais. Un match-évènement, plus qu’un enjeu sportif déterminant, qui a attiré un maximum de curieux. Ce n’est pourtant pas seulement ce week-end, mais à de nombreuses reprises cette saison, que l’enceinte décinoise a dépassé la barre des 50 000 en Ligue 1. Résultat : l’OL a battu son record d’affluence moyenne sur un exercice depuis l’inauguration du stade, en janvier 2016. Un chiffre de 51 003 personnes qui lui permet de se classer 2ᵉ, loin derrière l’Olympique de Marseille et ses 63 553 spectateurs en moyenne. Mais devant le PSG, 3ᵉ (47 565).
Pour le club de John Textor, le nombre cumulé dépasse même les 49 079 de la saison 2018-2019. Et ce, alors que le club rhodanien disputait encore la Ligue des champions. Une ferveur plus importante cette saison, en accord avec l’ensemble des stades de Ligue 1. En effet, 14 des 18 clubs dans l’élite ont constaté une affluence stable ou en hausse au cours de l’exercice 2024-2025, selon les chiffres communiqués par la LFP. Symbole de cette nette progression. La 34ᵉ et ultime journée, ayant accueilli 369 000 spectateurs au total, soit 40 951 personnes en moyenne dans chaque enceinte. Un record absolu dans l’histoire du championnat.
Autre motif de satisfaction pour l’OL. Son taux de remplissage. Alors qu’il ne se situait qu’à 78% la saison passée, il est désormais passé à 88%, soit une augmentation de 10 points. Malgré tout, 7 stades de l’élite dépassent toujours la barre des 90%. Parmi eux, l’Orange Vélodrome (OM) et ses 96%, le Roazhon Park (Stade rennais) et ses 94%. Ou bien encore, le Parc des Princes et le stade Bollaert-Delelis (99%). Ainsi, le Parc OL reste toujours à la traîne derrière ces équipes-là alors qu’il a pourtant gagné 15 000 spectateurs en moyenne par rapport à la saison précédente en Ligue 1, marquée à l’époque par six premiers mois moribonds.