LOSC : « Être dauphin, ça n’arrive pas tous les ans », Benjamin André déterminé à dominer l’OM | OneFootball

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·3 de mayo de 2025

LOSC : « Être dauphin, ça n’arrive pas tous les ans », Benjamin André déterminé à dominer l’OM

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À l’aube d’un choc entre le troisième et le deuxième, dimanche (20h45), à l’occasion de la réception de Marseille, Benjamin André entend bien marquer un grand coup dans cette lutte pour le statut de dauphin du PSG. En cas de victoire, le LOSC est conscient qu’il aurait son destin entre ses mains en cette fin de saison éminemment disputée.

Selon vous, combien de points faut-il pour décrocher la Ligue des champions ?

« Je vous le dirai dans trois matches (sourire). Honnêtement, je pense que c’est une des années les plus difficiles à prévoir. Six équipes qui se jouent en si peu de points, je l’ai rarement connu à trois journées de la fin. Je pense que ce week-end peut aussi éclaircir certaines choses. Mais il restera six points derrière, il y aura des chocs. Il y a beaucoup d’équipes qui jouent le même championnat aussi, ça va batailler dur. Honnêtement, c’est très compliqué de faire un pronostic.


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Dans les confrontations directes entre membres du top 7, le LOSC est celle qui a pris le moins de points. Comment l’expliquez-vous ?

(L’air étonné, avant de poursuivre.) On a quand même battu Nice et Monaco. On n’a pas perdu contre Marseille. Je ne sais pas trop. Le championnat se fait avec 17 autres équipes. Mais je ne nous ai pas vraiment senti en dessous sur chaque confrontation qu’on ait pu avoir dans ce top 7.

Finir dauphin du PSG plutôt que troisième est-il un vrai challenge pour le LOSC ?

« Finir le plus haut possible, être dauphin, ça n’arrive pas tous les ans non plus. Finir avec une place directe (qualificative en Ligue des champions), c’est un objectif. Cela nous offrirait un début de saison un peu plus simple que cette année, où on a laissé un peu de force. »

Bruno Genesio sur l’homogénéité du sprint final : « Je trouve que c’est bien pour le public et pour vous (les journalistes) aussi. Ça vous permet de faire beaucoup de papiers et d’être lu ou écouté (sourire). Je pense que c’est bien pour l’image de notre championnat parfois, ou souvent, décrié parce que “pas assez ci, pas assez ça”. On se rend compte que, même si le PSG domine largement, qu’il y a beaucoup de bonnes équipes derrière. Certaines avec des moyens financiers plus importants que d’autres. Mais il y a six équipes qui luttent pour la Ligue des champions. Je trouve que c’est plutôt intéressant sur cette fin de championnat. Même si nous, on aurait préféré jouer trois matches en étant sûr de terminer dans les trois premiers (sourire). Mais c’est aussi pour ça qu’on fait ce job, pour avoir cette adrénaline sur des matches à enjeu. »

Propos recueillis par Enzo PAILOT

Crédits photo : Dave Winter/FEP/Icon Sport

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