Rosenior : "Je sais que l'ambiance à Saint-Étienne sera incroyable" | OneFootball

Un rendez-vous abordé avec ambition par l'entraîneur anglais, malgré les difficultés de sa formation à l'extérieur qui n'a pas encore gagné (ndlr : deux défaites et deux matchs nuls). Strasbourg s'attend à un match difficile à Geoffroy-Guichard, dans une ambiance "incroyable" : "Il y a toujours un moment où tu vas gagner pour la première fois à l'extérieur. On aurait préféré que ce soit plus tôt et on a eu de bonnes occasions. Nous jouons toujours chaque match pour gagner, donc cela ne change pas notre façon de penser. Nous voulons gagner chaque match donc ce serait génial de gagner samedi. On cherche à avoir le plus de points sans penser à combien on en aura à la fin. C'est là que vous faites les comptes. Je ne pense pas à la saison de cette façon. Je ne sépare pas les matchs. Je ne considère pas un match comme étant plus difficile qu'un autre, nous jouons à l'extérieur ou à la maison. Vous jouez pour gagner chaque match. C'est la seule chose sur laquelle je me concentre et j'espère que c'est la seule chose sur laquelle le groupe se concentre.

Je sais que l'ambiance à Saint-Étienne sera incroyable. C'est vraiment un déplacement difficile. Leur début de saison est compliqué, comme pour toute équipe promue dans une ligue supérieure et à un niveau supérieur. Mais ils ont de vraies armes, ils jouent avec une véritable énergie. Je pense qu'ils ont été malchanceux dans certains matchs. J'ai regardé le match contre Lille où ils étaient très bien. Je sais que ce sera un match difficile. Nous devons être sûrs de jouer à notre niveau pour nous donner une chance de gagner le match. C'est une longue saison. Si vous commencez à essayer de porter des jugements après une petite période de matchs, alors vous vous laissez emporter. Je veux me concentrer pleinement sur chaque match que nous disputons. Je vais devenir très ennuyeux dans ces conférences de presse tout au long de la saison. Je me fiche de savoir où nous en sommes dans le Championnat maintenant. Je me soucie de savoir ou nous en serons à la fin du mois de mai."