Victorieux à Quevilly-Rouen, Boulogne conforte sa 2e place | OneFootball

Boulogne s’est imposé sur la pelouse de QRM.

La logique a été respectée. L’US Boulogne se déplaçait effectivement sur la pelouse de Quevilly-Rouen Métropole ce samedi soir dans le cadre du choc de clôture de la 19ème journée de National. Une rencontre qui a vu les Rouge et Noir s’imposer sur la plus petite des marges à la pause grâce à une réalisation express de Corentin Fatou dès la neuvième minute de jeu. Un but qui suffit à l’USBCO pour conforter sa deuxième place au classement. Les Léopards sont treizièmes.

L’USBCO garde le rythme

La première occasion de la partie va pourtant être à mettre à l’honneur des locaux. À la sixième minute de jeu, Yankuba Jarju va passer tout proche de lober Yannick Pandor afin de faire exploser le stade Robert Diochon. Pas de réussite toutefois pour celui qui a passé la quasi-totalité de son année 2024 blessé. Dans la foulée, l’USBCO va ouvrir le score par le biais de Corentin Fatou. Quelques instants plus tard, Boulogne va exploser en contre-attaque et va pense parvenir à faire le break. C’est repoussé par Pierre Patron. Gros début de match donc. Quevilly-Rouen va commencer à se libérer et à s’approcher dangereusement des derniers mètres adverses.

À la demi-heure de jeu, Tony N’Jiké va tenter sa chance d’une vingtaine de mètres. C’est pas cadré. Quelques secondes plus tard, au tour de Belkacem Dali-Amar d’être à la conclusion d’une contre-attaque rondement menée. Le gardien de but boulonnais effectue une belle parade pour permettre à sa formation de garder l’avantage. Le score ne bougera pas d’ici le retour aux vestiaires. Une pauvre deuxième mi-temps va ensuite avoir lieu, dans le froid Normand. Il faut attendre la 79ème minute de jeu pour entrevoir une occasion dangereuse. Lenny Pirringuel trouve Jordan Leborgne sur un une-deux avant que ce dernier ne profite d’un cafouillage pour tenter sa chance dans la surface de réparation. Ce dernier n’arrive toutefois pas à conclure. Le score ne bougera pas après 45 minutes difficiles à suivre pour les spectateurs présents au stade.

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