Foot National
·23 décembre 2024
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·23 décembre 2024
Le FC Nantes, par le biais de son directeur général Franck Kita, a tenu à se défendre après la polémique à Drancy.
Une nouvelle histoire qui ne fera pas grandir, bien au contraire, la famille Kita. Ce Ce samedi, le FC Nantes partait s’imposer face à la JA Drancy (N3) quatre buts à zéro à l’occasion des 32èmes de finale de la Coupe de France. Une rencontre qui s’était déroulée au Stade Bauer de Saint-Ouen, qui n’est pas l’antre habituel du pensionnaire de la cinquième division tricolore. À l’issue du match, Alain Melaye avait fait savoir à nos confrères du Parisien que le club de Ligue 1 n’avait pas laissé sa part de la recette à la formation qu’il préside, comme le veut la tradition de la plus vieille des compétitions hexagonales. De quoi pousser la municipalité de Seine-Saint-Denis (93) à fustiger le FCN. Toujours dans les colonnes du Parisien, Franck Kita a décidé de sortir du silence.
"Nous avions décidé qu’on ôterait nos frais de déplacement, bus et hôtel, de notre part de recettes. Et s’il y avait eu un reliquat sur cette part, nous l’aurions laissé au club. Mais cette part ne payait même pas la moitié de nos frais" a répondu le directeur général du club de Ligue 1 avant de poursuivre. "Personne n’est venu nous voir ou se présenter comme dirigeant de Drancy. J’étais pourtant au bord de la pelouse pendant tout l’échauffement. Nous n’avons été invités dans aucun salon et nous sommes allés nous asseoir au milieu des tribunes" a-t-il conclu.
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