Equipe de France : les forces en présence, Kolo Muani, Théo Hernandez, le contexte pesant...Deschamps se lâche ! | OneFootball

Didier Deschamps était présent ce mercredi en conférence de presse à la veille de la rencontre entre Israël et l'équipe de France.

Après y avoir échappé lundi, Didier Deschamps n'avait pas d'autre choix que de se présenter en conférence de presse ce jeudi à la veille de la rencontre entre Israël et l'équipe de France. Le sélectionneur des Bleus a été interrogé sur divers sujets comme les forces en présences, les formes de Randal Kolo Muani et Théo Hernandez, le contexte pesant autour de la rencontre ou encore le traumatisme de 1993 face à Israël.

Sur Kolo Muani

"Randal a une situation qui n'est pas idéale avec son club. Je ne vais pas rentrer dans ce qui ne me concerne pas. Avec nous, il fait beaucoup de bonnes ou de très bonnes choses avec une bonne efficacité. Qu'il garde ça même si ce n'est pas l'idéal. C'est arrivé avec d'autres joueurs et non des moindres d'avoir des situations difficiles en club et d'être performant en équipe de France."

Sur Théo Hernandez

"Il a eu un début de saison plutôt compliqué. Il a dû rattraper un petit peu. Il a été mieux, il le sait. De par ses performance aussi. Il est heureux d'être en équipe de France, évidemment. C'est le cas des joueurs en difficulté avec leur club. Ce n'est pas sa meilleure période, comme les résultats de son club. Il a eu dû mal à remettre la machine après l'Euro."

Sur le contexte de la rencontre

"Il faut faire en sorte que ça reste un match de foot même si le contexte est très tendu. C'est la réalité, malheureusement."

Sur les forces en présence

"Marcus (Thuram) va faire un entraînement à part car il a encore un ressenti avec sa cheville. Il est incertain pour demain. Bradley (Barcola) va s'entraîner ce soir car il a eu une gêne lors de son dernier match (contre Nice)."

Sur le traumatisme de 1993

"Mon homologue sélectionneur en face me l'a rappelé. Ça me rappelle une période qui était loin d'être la plus heureuse. On menait 2-1 et on a perdu 3-2 en fin de match. Le match d'après nous a privé de la Coupe du monde 1994. Heureusement pour moi et cette génération, ça s'est mieux passé en 1998. C'est un très bon souvenir pour Israël, pour nous c'est un souvenir plus douloureux."

Retrouvez l'actualité du monde du football en France et dans le monde sur notre site avec nos reporters au coeur des clubs.