Girondins. Bruno Irlès attend un attaquant, "On est à 40% de ce qu'on est capable de faire" | OneFootball

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·19 octobre 2024

Girondins. Bruno Irlès attend un attaquant, "On est à 40% de ce qu'on est capable de faire"

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En zone mixte, l'entraineur des Girondins de Bordeaux, disponible, a répondu aux questions. Irlès balaye tous les sujets, Carroll dépendant, renfort d'un attaquant et marge de progression, sans oublier de rendre hommage aux salariés qui vont être licenciés. Il prévient aussi s'est joueurs qu'ils doivent bien récupérer demain pour travailler la semaine prochaine.

Accompagner les salariés licenciés

Brumo Irlès : "Ça ne sera pas le meilleur match de notre saison. Je peux vous le dire. On a beaucoup souffert ce soir, on ne va pas se le cacher même s'il y a du mieux et que l'état d'esprit était là. On avait à cœur de saluer des salariés comme Margaux (Anglade, attachée de presse, NDLR), dont c'était le dernier match. On avait à cœur de les accompagner aujourd'hui."


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Manque de coffre physique : "On est à 40% de ce qu'on peut faire"

"Le match n'est pas abouti. J'attends plus de maitrise et de danger à poser à notre adversaire. Mais la composante physique était dure à ternir pendant 90 minutes. On a vu des joueurs cramper à la fin. J'en demande beaucoup et sans préparation. On n'a pas cette base qui nous permet de tenir 90 minutes par rapport à ce que je demande. On va y arriver peu à peu et ce sera meilleur. "

"Ils ne partiront pas en week-end, c'est mort"

"Par moment, on répond à ce que je souhaite faire et ce que nous faisons à l'entraînement, à savoir utiliser notre atout devant, et aussi pour faire jouer les autres. Il faut aussi exploiter nos côtés, Yanis (Merdji) qui est autour. Cela se met en place tout doucement, on est à 40% de ce qu'on est capable de faire. Il faut beaucoup travailler. Ils ne partiront pas en week-end, c'est mort. On récupère demain matin, et on travaille toute la semaine, car on a du temps à rattraper."

État d'esprit irréprochable des joueurs

"Notre bloc est solide, mais il est descendu, car nos jambes ne suivaient plus. Amadou Diallo ne pouvait pas jouer plus d'une heure. Mon idée était de ne pas faire les autres changements, mais j'étais obligé de les faire à la fin.

Émeric et Adrien ont été très bons. Quand on joue en 442, vous avez intérêt à avoir deux joueurs qui sont solides. Il y a beaucoup de travail tactique et aussi en intensité. Cédric et Jean ont aussi répondu présents. Je n'ai rien à reprocher aux joueurs dans l'état d'esprit."

Peur d'une Andy Carroll dépendance avec 5 buts en 3 matchs ?

"Les situations ce soir ne sont pas venues que d'Andy Carroll. Mais vous avez raison, il n’y a que lui qui marque. Il va falloir que les autres se réveillent. Les adversaires commencent à le connaitre, et il va y avoir des plans anti-Carroll chez nos adversaires. J'ai d'autres atouts qui doivent se révéler pour être décisif, car ils sont capables de l'être."

Un nouvel attaquant en attente ?

"Il y a deux joueurs qui ne sont pas qualifiés (Diaw et Trazié) qui peuvent nous aider. Un attaquant est sur le point d'arrivée. Je l'espère assez rapidement."

La tête à Blois

"Le calendrier haché est un avantage pour nous, car nous avons des périodes de préparation un peu plus longues. À partir de demain, on prépare le match de Blois. On ne dénigre pas la Coupe de France, mais on est content d'avoir ces matchs pour nous permettre de travailler. Les joueurs les jouent sérieusement."

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