⏳ J-4 CDM F : les 4️⃣ vainqueurs | OneFootball

La Coupe du monde féminine de la FIFA démarre dans quatre jours pour la neuvième fois de l’Histoire. Depuis le lancement de la compétition en 1991, seulement quatre nations ont remporté le trophée : les voici.

La Norvège pour l’éternité

Lors de la seconde édition en 1995, la Norvège a été sacrée non loin de chez elle, en Suède, en battant l’Allemagne 2-0 au terme d’un beau parcours. Depuis, elles n’ont jamais atteint de nouveau la finale, mais les trois dernières compétitions ont vu une amélioration, passant d’une élimination en phases de poules en 2011, à un quart de finale en 2019. Pourront-elles à nouveau marquer l’Histoire, alors que d’autres sélections émergent ces dernières années ?

Le Japon : héroïnes de tout un peuple

L’autre équipe de cette présentation à n’avoir remporté la Coupe du monde qu’une seule fois : c’était en 2011, lors de la sixième édition. Cette année-là, les Japonaises ont réussi l’exploit de se hisser en finale de la compétition, avant de battre les États-Unis, double vainqueur, aux tirs au buts. Un exploit qui a eu de quoi rendre fier tout un peuple.

Lors de l’édition suivante en 2015, le Japon a prouvé que l’exploit de 2011 n’était pas que temporaire, puisque les joueuses japonaises se sont de nouveau qualifiées en finale, toujours face aux États-Unis, finale malheureusement perdue lors du temps réglementaire cette fois-ci.

L’Allemagne pour briser la supériorité américaine

En Allemagne, le football féminin est synonyme de gloire. Outre le fait d’être la nation la plus titrée à l’Euro Féminin avec 8 victoires, Die Nationalelf est devenue la première équipe féminine à défendre son titre de Championne du monde.

En effet, après sa première victoire en 2003 face à la Suède, l’Allemagne a réitéré son exploit en s’imposant de nouveau quatre ans plus tard en 2007, cette fois-ci face au Brésil. Un troisième trophée cette année en Australie ?

Les États-Unis : la domination américaine

Lorsqu’on pense football féminin, on pense immédiatement à l’équipe féminine des États-Unis, et ce n’est pas sans raison.

D’abord parce qu’il s’agit de la première sélection féminine sacrée Championne du monde, en 1991 en Chine, mais aussi parce qu’après cela, elles ont remporté trois autres trophées, soit au total, la moitié des éditions.

Leur deuxième titre est venue 8 ans après le premier en 1999 face à la Chine, puis se sont enchaînées deux troisièmes places, puis une finale perdue face au Japon. Depuis, les coéquipières d’Alex Morgan et de Megan Rapinoe ont été doublement sacrées, en 2015 et 2019 et s’envolent vers l’Australie et la Nouvelle-Zélande pour tâcher de remporter un troisième trophée de suite, ce qui serait une première dans l’Histoire du football féminin.

Photo Getty.