Le LOSC a « totalement éliminé » sa dette de 400 millions d’euros | OneFootball

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·13 octobre 2024

Le LOSC a « totalement éliminé » sa dette de 400 millions d’euros

Image de l'article :Le LOSC a « totalement éliminé » sa dette de 400 millions d’euros

Endetté à hauteur de près de 400 millions d’euros au départ de Gérard Lopez en décembre 2020, le LOSC a entrepris un long processus d’assainissement au point d’avoir remis, aujourd’hui, les compteurs à zéro selon Olivier Létang.

Le LOSC remis sur pieds financièrement

C’était une situation pour le moins critique, presque fatale pour certains, mais qu’Olivier Létang et ses équipes ont su rétablir en quelque quatre années. Quand l’ancien directeur sportif du PSG et président de Rennes était placé à la tête du club en décembre 2020, une volonté était dans toutes les têtes : assainir une situation économique devenue catastrophique sous la présidence Gérard Lopez. « Le club va fêter ses 80 ans au mois de novembre, il aurait dû mourir à 77 ans, imageait il y a peu le président sur les ondes d’Europe 1. On peut tous être fiers du travail qui a été réalisé en gardant une performance sportive importante. Le club était un champ de mines quand nous sommes arrivés. On espère que la suite sera d’autant plus belle. »


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Avant de poursuivre, au sujet des comptes du club : « On est un grand club, mais nous avons connu d’importantes difficultés, avec 400 millions d’euros de dettes que nous avons totalement éliminées ». De quoi rassurer après des années à matraquer cette impérieuse nécessité d’afficher, notamment, un bilan des transferts positifs chaque année. Désormais, le LOSC peut se permettre de laisser partir libre Yusuf Yazici, ou encore de retenir Jonathan David et Angel Gomes à un an de la fin de leur contrat.

LOSC : Jonathan David ne devrait pas prolonger !

Après Nicolas Pépé (80M€) ou Victor Osimhen (77,5M€), le LOSC avait déjà réalisé sa grosse vente estivale il y a quelques mois avec Leny Yoro (62M€). Et peut désormais envisager un rééquilibrage de son projet toujours plus tourné vers le sportif plutôt que l’économique, toujours aussi important mais moins urgent qu’il y a quatre ans.

Crédits photo : Daniel Derajinski/Icon Sport

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