le11
·30 janvier 2025
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·30 janvier 2025
Capitaine contre Feyenoord, Bafodé Diakité restera comme l’un des acteurs importants de cette soirée historique pour le LOSC. Heureux d’éviter les barrages, le défenseur nordiste peine encore à réaliser le chemin parcouru par son équipe cette saison. Entretien.
C’est un truc de dingue ! J’ai tellement crié à la fin du match que j’ai la voix cassée (sourire). On est content de l’avoir fait, ce n’était vraiment pas joué avant la rencontre. Le fait d’avoir mis autant de buts nous permet de le faire. On va en profiter.
On rentre un peu plus dans l’histoire, oui. On va surtout éviter les deux matches qui arrivent dans deux semaines. Sachant qu’on n’arrête pas d’enchaîner, un peu de repos va nous faire du bien pour repartir de plus belle.
C’était une ambiance de fête ! Le président et le coach ont parlé. On a crié comme d’habitude après une victoire. On est encore sous l’émotion. Ce n’est pas quelque chose qui arrive souvent. Il y a aussi eu un bon turnover sur ce match. Je pense que certains joueurs ne pouvaient pas s’imaginer atteindre ce stade de la compétition. On est tous contents.
Pas grand-monde ne nous voyait terminer à cette place. Tant mieux, on aime bien ce rôle. On n’est pas encore pleinement conscient de ce qu’on a fait.
On est fiers. Cette réforme de la formule a fait en sorte qu’il y ait des surprises. Pas grand-monde ne nous voyait terminer à cette place. Tant mieux, on aime bien ce rôle. On n’est pas encore pleinement conscient de ce qu’on a fait. Je pense qu’on va plus s’en rendre compte quand on va retrouver nos familles.
Le coach arrive à faire en sorte que tout le monde soit concerné. On ne sait jamais ce qui peut arriver. Les joueurs sur la feuille de match ont montré leurs qualités. On est content.
Non. Cela fait toujours plaisir. Je sais que ça rajoute une responsabilité, mais ça reste un bout de tissu. Soit on est leader, soit on ne l’est pas. A partir de là, on essaie de donner les directives qu’on a l’habitude de donner. Je suis un leader qui essaie de donner de la confiance à mes partenaires pour leur retirer de la pression. J’essaie de les libérer.
Propos recueillis par Enzo PAILOT avec Romain PECHON
Crédits photo : Anthony Dibon/Icon Sport