PSG - Inter : Lautaro Martinez fond en larmes avant la finale | OneFootball

À la veille de la grande finale de la Ligue des Champions entre le Paris Saint-Germain et l'Inter Milan, le coach Simone Inzaghi, son capitaine Lautaro Martinez ainsi que Nicolo Barella étaient présents en conférence de presse.

Les supporters n'en peuvent plus d'attendre samedi soir. Mais pour les faire patienter un petit peu plus avant la grande finale de la Ligue des Champions entre le Paris Saint-Germain et l'Inter Milan, place aux conférences de presse.

Et pour lancer le bal, c'est le technicien italien Simone Inzaghi, accompagné de son capitaine argentin Lautaro Martinez ainsi que Nicolo Barella, qui ont pris place face aux médias venus du monde entier.

Inzaghi a ouvert le bal en évoquant le fait que son équipe pouvait s'appuyer sur la finale perdue en 2023 face à Manchester City : "Une approche différente par rapport à Istanbul ? C’est certain que la finale d’il y a deux ans peut nous aider à bien nous préparer cette fois. On s’est bien préparés, ça ne doit pas devenir une obsession mais on a pu travailler avec tout le groupe, et ça peut nous permettre d’arriver dans les meilleures conditions. Avoir joué ici contre le Bayern, et les avoir éliminés, nous a donné une grande confiance, surtout face à Barcelone ensuite", a-t-il expliqué, avant d'évoquer le cas Benjamin Pavard : "Si Pavard me montre aujourd’hui encore qu’il est à 100%, il sera sur le terrain".

"Le PSG n’est pas favori"

Par la suite, c'est Lautaro Martinez qui s'est confié au micro de la Sky. Le journaliste lui a présenté une vidéo de ses proches lui souhaitant bonne chance pour la finale. Une vidéo émouvante face à laquelle il n'a pas réussi à retenir ses larmes : "C’est difficile de parler. Ce sont eux qui me poussent à ne jamais abandonner. Ils mériteraient cette coupe. Tout ce que je suis, je le leur dois : à mon père, qui m’a transmis cet amour du foot, à ma mère qui ne m’a jamais laissé manquer de rien, à ma femme et à mes enfants", a-t-il expliqué, la larme à l'oeil.

Il a ensuite affirmé que personne n'était favori dans ce choc : "Le PSG n’est pas favori. Ce sera un match à 50-50. Ils ont énormément de qualités, de grands joueurs, ils sont en forme et méritent le respect. Demain, ce sera le match qui décidera de tout. J’espère que tout le monde sera à bloc". Le message a le mérite d'être clair.

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