Rolland Courbis : “Il n’y a pas que le but de Feindouno à la dernière journée, il y a aussi les conséquences du pénalty de Ravanelli…” | OneFootball

« Je me rappelle des conséquences… Qu’un attaquant puisse exagérer une faute d’un défenseur qui l’affleure, et qu’il aurait pu ne pas tomber… Encore que bon, le pied est passé derrière le mollet… Si vous questionnez Rabesandratana, moi j’ai questionné Ravanelli, et si Ravanelli m’avait répondu qu’il était tombé et qu’il ne l’avait même pas touché, bravo Fabrice, ça me plait les comédiens comme toi (ironique). Mais là, il m’a dit ‘non, je te promets, il m’a effleuré, et évidemment j’en ai rajouté’. Bravooooo…. Par contre, le lendemain ou le surlendemain, je ne pense jamais qu’à partir de ce jour-là jusqu’à la fin de la saison, nous n’allions plus avoir l’ombre d’un pénalty. Donc là, évidemment que je vais dire quelque chose d’impossible : j’aurais préféré qu’il n’y ait pas ce pénalty, qu’il y ait 1-1, et que les 6 ou 7 pénaltys qu’on aurait pu, ou dû avoir, qui nous auraient peut-être permis d’être Champion… Parce que la possibilité du championnat raté de l’Olympique de Marseille, il n’y a pas que le but de Feindouno à la dernière journée, il y a aussi les conséquences du pénalty de Ravanelli… Donc c’est pour ça que dans ma carrière j’ai des bons souvenirs, et des moins bons aussi ».

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