SC Bastia – Anthony Roncaglia : « Après ma carrière, je ferai pompier » | OneFootball

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·17 octobre 2024

SC Bastia – Anthony Roncaglia : « Après ma carrière, je ferai pompier »

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Sa réputation de chambreur n’est pas usurpée et son rôle dans les vestiaires jamais sous estimé. Même s’il a moins joué depuis le début de la saison avec Bastia que la saison passée où il était titulaire la plupart du temps, Anthony Roncaglia n’est pas moins un élément incontournable du Sporting sur qui Benoît Tavenot peut compter. Le vainqueur du challenge Jean Stouvenot 2024-2025, récompensant le meilleur joueur corse sur une saison de football, était l’invité de l’émission « Una stonda cù… » publiée par le club sur sa chaîne YouTube cette semaine. Son parcours, sa famille, un heureux événement à venir et tout ce qui est à côté du football : le défenseur de Ligue 2 se livre sans détour.


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« J’ai toujours été un garçon tranquille, mais on m’a toujours entendu. Même à l’école, alors que je passais mon temps à rire et à faire rire, j’ai eu mon bac avec mention. J’aime rigoler, j’aime vivre, j’aime embêter quelqu’un, lui donner le sourire. Je suis un grand boudeur aussi, mais bon (sourires) […]. Mon père est pompier et j’ai toujours dit que je ferai pompier plus tard. Après ma carrière, je ferai pompier je pense. Aujourd’hui, on avait un rendez-vous pour notre formation et je pense toujours faire pompier. »

Ses idoles, de l’AS Rome comme au Sporting

« Ma mère est d’Italie, de Rome. J’ai toute ma famille là-bas du côté de ma mère. J’ai toujours aimé Francesco Totti, il est toujours resté à la Roma, n’a jamais quitté le club. De temps en temps, Amine (Boutrah) me surnomme « Totti », me dit que je vais rester là à vie. En plus du Sporting, j’ai toujours aimé ce joueur et la Roma. Au Sporting, j’ai toujours apprécié et adoré « Cahu » (Yannick Cahuzac). Tout le monde le critiquait, disait que c’était un joueur brouillon qui n’avait rien à faire là. Mais « Cahu », il progressait. Ça a toujours été quelqu’un qui se battait pour le club, qui a tout donné pour le maillot. J’ai toujours aimé ce genre de joueurs, comme Gilles Cioni. Dans les anciens, je pense à Charles Orlanducci qui joue à mon poste. On ne l’a pas connu (en tant que joueur) mais on a toujours entendu parler de lui. En plus il avait le numéro 4 (sourires). Même en Squadra Corsa, il est venu nous donner quelques proverbes. »

Photo Anthony Bibard/FEP/Icon Sport

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