🎥 Une finale qui commence en provocation : les ultras brugeois réveillent Anderlecht en pleine nuit | OneFootball

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·4 mai 2025

🎥 Une finale qui commence en provocation : les ultras brugeois réveillent Anderlecht en pleine nuit

Image de l'article :🎥 Une finale qui commence en provocation : les ultras brugeois réveillent Anderlecht en pleine nuit

À la veille de la finale de Coupe, des ultras du Club de Bruges ont perturbé la nuit des joueurs anderlechtois avec un feu d'artifice devant leur hôtel.

La finale de Coupe de Belgique entre Anderlecht et le Club de Bruges n’avait pas encore commencé qu’un premier coup d’éclat avait déjà enflammé les esprits. Dans la nuit de samedi à dimanche, des membres du noyau dur des supporters brugeois, les North Fanatics 13 ont décidé de "préparer" la rencontre à leur manière. Aux petites heures du matin, ils ont déclenché un feu d’artifice assourdissant devant l’hôtel des joueurs anderlechtois.


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L’objectif était clair : troubler le sommeil des Mauves à la veille du choc. Et loin de garder l’opération discrète, les auteurs de cette démonstration pyrotechnique ont eux-mêmes diffusé la vidéo sur Facebook. On y voit les feux d'artifices éclater dans la nuit tandis que la légende, moqueuse, s’affiche : "Une bonne nuit de sommeil, c’est important. Bonjour RSC Anderlecht."

L’initiative a rapidement fait le tour des réseaux sociaux, entre moqueries, indignation et fascination. Certains supporters brugeois ont salué "l’humour" et "l’esprit de rivalité", tandis que d’autres y ont vu une provocation puérile, voire dangereuse. Le club d’Anderlecht n’a pour l’instant pas officiellement réagi.

Ce n’est pas la première fois que les North Fanatics 13 défrayent la chronique. Ce groupe ultra est déjà dans le viseur depuis plusieurs mois après avoir été filmé faisant des saluts nazis lors d’un match contre le Standard de Liège.

Reste à voir si cette nuit blanche improvisée aura un impact sur la performance des Bruxellois sur la pelouse. En attendant, le climat autour de cette finale est désormais aussi chargé que les fusées tirées devant l’hôtel.

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