Bordeaux : grande nouvelle, un prétendant de longue date toujours intéressé par un rachat | OneFootball

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·18 Oktober 2024

Bordeaux : grande nouvelle, un prétendant de longue date toujours intéressé par un rachat

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Un prétendant de longue date a confié être toujours intéressé par le rachat des Girondins de Bordeaux.

L'été a été catastrophique pour les Girondins de Bordeaux. Relégués en National 2, ils ont été déchus de leur statut professionnel, eux qui ont été placés en redressement judiciaire par le Tribunal de Commerce. Mais comme le révèle L'Equipe, le club dispose toujours d'une belle cote et suscite les convoitises. Comme celles de Bruno Fievet, déjà intéressé par un rachat des Girondins en 2021 mais finalement devancé par Gérard Lopez. Le quotidien sportif explique qu'il travaille depuis plusieurs mois sur un projet de reprise mais qu'il n'a encore entrepris aucune démarché auprès du Tribunal de Commerce.


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Bruno Fievet toujours intéressé par le rachat des Girondins de Bordeaux !

En revanche, l'homme d'affaires s'est déjà positionné, par le biais de réunions avec la mairie et la Métropole, d'une lettre d'intention et d'une offre orale de 100 millions d'euros, sur le rachat du Matmut Atlantique : "Il faut changer le modèle économique en place. Cela passe par de la création de valeurs, et le stade est précisément un actif qui peut représenter de la valeur pour le club. Aujourd'hui, la mairie est plutôt réceptive, la Métropole un peu plus réservée. Il y a beaucoup de contraintes légales, la volonté de ne pas froisser les partenaires actuels tels que SBA et les Girondins, et aussi la peur d'être pointée du doigt si les Girondins venaient à être placés en liquidation. C'est pour ça qu'elle fait tout pour arranger le propriétaire actuel en ne lui faisant pas payer de loyer" a-t-il lancé dans les colonnes du média.

Si cette proposition orale a été repoussée, ne correspondant pas à la valeur estimée par la Métropole, Fievet, qui dispose dans son projet du soutien d'un investisseur local spécialisé dans l'immobilier et d'un investisseur du Golfe, a révélé pourquoi il n'avait pas encore fait de démarche concrète pour le rachat du club : "Parce que le stade les vaut alors que le club a 118 M€ de dettes et qu'il ne vaut rien aujourd'hui. La seule façon de lui donner de la valeur, c'est de l'associer à un actif qui en a. C'est le cas du stade". Affaire à suivre.

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