« Ça va être génial » : Carvajal et Courtois misent sur une Coupe du monde des clubs spectaculaire | OneFootball

La Coupe du monde des clubs (14 juin-13 juillet), organisé cette année aux États-Unis, occupe déjà les esprits madrilènes. Dani Carvajal, attendu de retour après sa blessure survenue en octobre, voit en ce tournoi bien plus qu’une simple compétition internationale. Selon lui, le rendez-vous pourrait avoir une résonance comparable à une Coupe du Monde, portée par l’engouement de tout un pays. Mais au-delà de l’événement en lui-même, le latéral espagnol insiste sur un autre aspect déterminant.

Pour Carvajal, l’atout majeur de ce Mondial résidera dans la diversité des styles et des publics. « Je crois que ça va être génial. Je m’imagine quelque chose de similaire à une Coupe du Monde avec les sélections nationales, car tout le pays va vivre le tournoi avec beaucoup d’intensité. Je pense que ce sera un vrai succès », a-t-il déclaré dans Marca. Avant d’ajouter : « Cette compétition mélange différents styles de jeu, des ligues et des continents, c’est ce qui la rend si spécial. » Le joueur madrilène se projette déjà sur le 18 juin, date du premier match face à Al Hilal.

Une culture sportive déjà bien ancrée aux États-Unis

Aux yeux de Thibaut Courtois, ce Mondial des clubs trouvera un terrain propice aux États-Unis, un pays qu’il décrit comme profondément passionné par le sport. Le portier belge, habitué aux tournées estivales sur le sol américain avec le Real Madrid, estime que la compétition pourrait rassembler un public cosmopolite.

« J’espère qu’il y aura beaucoup de supporters et de cultures différentes », affirme Courtois dans des propos rapportés par Marca. « Aux États-Unis, ils adorent les sports. Chaque été, on y joue des matchs amicaux, et c’est toujours agréable de voir combien de fans se déplacent. J’espère que beaucoup de supporters nord-américains du Real viendront. Ce serait vraiment amusant. » Un message clair : les Merengues comptent sur le soutien populaire pour briller dans ce tournoi inédit.

Edgar Yon.