Jude Bellingham : "Je ne réalisais pas qu'il y aurait une telle pression" | OneFootball

Dans le documentaire "Como no te voy a querer" diffusé par Prime Vidéo, un passage en particulier est consacré à l’international anglais Jude Bellingham.

Arrivé au Real en 2023 à seulement 19 ans, Bellingham s’est vite fait sa place dans le onze madrilène. Sa première saison marquée par ses buts (23) et son jeu qui lui ont permis de gagner le cœur des Madridistas plus vite qu’on ne l’aurait pensé. Dans le documentaire, l’Anglais révèle qu’il a été surpris par la grandeur du club madrilène.

"J’ai toujours dû faire face à la pression depuis mes débuts. Mais je ne réalisais pas la pression qu'apporterait le Real Madrid. Tout le monde en parle en dehors du Real, la pression qui vient avec le Bernabéu, les attentes. Je savais très bien ce que le club voulait, ce que les supporters voulaient voir sur le terrain... Il n’empêche que j'ai été impressionné par la grandeur du club. On ne s'en rend pas compte tant qu'on n'en fait pas partie. Mais j'ai senti que je pouvais me sentir à l'aise en venant dans ce club et en créant plus d’histoire", a déclaré Bellingham dans l'une des interviews de l’épisode qui lui est consacré.

Il raconte aussi pourquoi il a choisi le Real Madrid plutôt que d'autres clubs qui le voulaient aussi à l'été 2023. "En venant ici, j'étais sûr d'avoir pris une bonne décision. J'ai pesé le pour et le contre et j'ai pensé que je m'adapterais parfaitement", a-t-il déclaré. Force est de constater qu’il avait raison.

Un autre passage est dédié au premier Clasico de Jude, remporté par le Real Madrid grâce à son doublé à Montjuic (1-2).  "Il n'y a pas de plus grande scène pour un joueur de Madrid. On regarde ce match partout dans le monde. Le match a commencé très vite. Ils me couvraient bien. Je n'ai pas eu l'impression une seule seconde que nous allions perdre le match. Je n'ai pas eu l'impression que nous ne contrôlions pas la situation ou que nous n'étions pas dans le coup", raconte-t-il.

Sur son premier but, cette frappe soudaine depuis l’extérieur de la surface, il se souvient : "C'est un de ces tirs qui peuvent passer 10 mètres au-dessus du but, mais je l'ai bien frappé. Elle est sortie de mon pied et est allée au ralenti. Après, on ne pense qu'à gagner".