Stade Rennais Online
·3 Oktober 2024
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·3 Oktober 2024
Avant la réception de Monaco, Albert Gronbaek était le joueur présent en conférence de presse. Retranscription. Comment se passe ton adaptation à Rennes ? Je me sens très (…)
Avant la réception de Monaco, Albert Gronbaek était le joueur présent en conférence de presse. Retranscription.
Comment se passe ton adaptation à Rennes ?
Je me sens très bien. Ça fait deux mois maintenant, j’ai des cours de français chaque semaine, je commence à bien comprendre. J’espère pouvoir parler en français bientôt. J’ai été très bien accueilli, par tout le monde, par le coach. Je me sens bien intégré sur le terrain, je sens qu’ils veulent me faire me sentir bien et c’est agréable.
On sent un lien particulier qui se développe entre toi et les supporters. Toi aussi ?
Oui, quand on joue à domicile ils nous aident beaucoup, l’ambiance est top. Ils nous aident à continuer de presser et d’aller marquer des buts. Chaque match à domicile, on sent qu’on est 10% de plus. Personnellement, je me sens bien. Tu veux montrer que tu es assez bon, et que tu peux aider l’équipe. Chaque fois que je rencontre quelqu’un (un supporter) c’est sympa.
Comment juges-tu la Ligue 1 par rapport à tes précédents championnats ?
C’est plus physique, le tempo plus important, les joueurs plus forts. Mais je sens que j’ai été assez bon jusqu’ici dans ce style. Je ne me sens pas stressé par rapport à ça.
Je peux améliorer mes stats, être plus tueur devant le but. Je veux rester agressif, intense, et essayer de marquer et de délivrer des passes décisives pour aider mes coéquipiers. Et j’essaye de sentir ce dont le jeu a besoin. C’est un équilibre entre aller presser et garder le ballon. Mais je sens que je peux être meilleur là-dedans.
Les arrivées d’Henrik Meister et Leo Ostigard t’aident ?
Oui, on parle et on se comprend. C’est cool de pouvoir parler danois ici, avec d’autres. Ils peuvent également me solliciter s’ils ont besoin de quoi que ce soit. Avoir quelqu’un qui parle ta langue maternelle c’est toujours bien.
Avec qui penses-tu avoir la meilleure connexion sur le terrain ?
(Il réfléchit). Il y en a quelques uns, je dirais Amine (Gouiri), Ludo (Blas), Glen (Kamara) aussi. Je dirais aussi Kali. Les joueurs offensifs en résumé. Peut-être que ce n’est pas encore la meilleure connexion avec ces quelques matchs, mais je suis sûr qu’on a un potentiel et qu’on verra bientôt ça.
Tu es international depuis peu, penses-tu que ton transfert à Rennes ait aidé à ça ?
Je pense oui. C’est la deuxième fois que je suis appelé maintenant. Ce choix était le meilleur pour ma carrière et je suis ravi d’être là. Je suis excité d’aller à l’entrainement, on travaille dur et on a un très bon groupe. Je suis ravi d’être venu ici.
Oui bien sûr. Je suis venu d’un championnat moins bon, c’est à moi de prouver. Je dois m’adapter au style de l’équipe, au championnat, au groupe. Mais c’est ma première saison, je veux apporter avec des buts et des passes décisives. J’espère continuer.
Le début de saison n’est pas le meilleur. Sens-tu que vous devez vite avoir de bons résultats pour inverser la tendance ?
Je ne sais pas. Je pense qu’il faut qu’on se concentre sur ce qu’on fait à l’entrainement et je peux vous dire qu’ils sont de très haut niveau. On essaye chaque jour de faire de notre mieux et de travailler dur. Je suis sûr que les résultats viendront. Je n’ai pas peur de ça. Le potentiel de ce groupe est très grand. Quand nous serons tous au même niveau (physique), les automatismes viendront. Chacun fait de son mieux et j’ai confiance en ce projet.
Est-ce difficile de créer un état d’esprit collectif avec tous ces nouveaux joueurs ?
Il y a beaucoup de nouveaux joueurs mais doucement on construit cette relation. J’espère qu’on verra les résultats rapidement. On commence à se connaitre entre nous. On essaye de progresser.
Quelle est ta vraie place sur le terrain ?
Là où le coach me met (rires). Je me sens mieux sur le côté gauche. Mais je n’ai pas un poste spécifique où je me sens le mieux. Je suis content quand je suis sur le terrain.
Comment te prépares-tu pour un match physiquement intense comme celui de Monaco ?
Il faut être intelligent, savoir quand y aller (au duel) ou non. Ils sont forts. Si je sais quand y aller je suis sûr que ce ne sera pas un problème. Il ne faut pas peser un certain poids pour être bon physiquement. Je n’ai pas peur, j’ai simplement hâte d’être au match.