Ligue des Champions – J3 : Les notes des Dogues après Atletico de Madrid – LOSC | OneFootball

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Le Petit Lillois

·23 ottobre 2024

Ligue des Champions – J3 : Les notes des Dogues après Atletico de Madrid – LOSC

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Le LOSC ne fait pas les choses comme les autres mais le LOSC fait à sa manière pour aller s’installer à Madrid face à l’Atletico, trois semaines après avoir battu le Réal m. Voici les notes que nous attribuons aux Dogues à l’issue de cette rencontre.

Lucas Chevalier (9) : Certes il ne fait que quatre arrêts sur le match mais les parades sont splendides, comme sur cette tête de Gimenez puis sur la frappe de Samuel Lino, et décisifs puisqu’ils permettent à Lille de rester à 1-0 ou de garder l’avantage. Une performance d’international français non ?


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Ousmane Touré (3,5) : Pour sa première titularisation, le jeune défenseur était lancé dans un contexte difficile et il a effectivement vécu une soirée qui aurait pu être terrible. Responsable d’une perte de balle grossière sur le but madrilène, il a essayé de se remettre dans le match en mettant de l’intensité, parfois trop, avant d’être remplacé à la mi-temps. Mais ses coéquipiers ont décidé de le faire sortir par le haut.

Bafodé Diakité (8) : Entré à la mi-temps, il a immédiatement été dans le ton, que ce soit dans les interventions, le leadership et la justesse. Il a été intraitable dans tous les domaines pour contenir l’attaque madrilène.

Aïssa Mandi (8) : Dans l’axe de la défense à trois lilloise, l’international algérien a complètement pris le dessus sur Sorloth et a joué un rôle important dans sa capacité à défendre en avançant par séquence pour retarder les attaques madrilènes. Un match plein pour l’ancien de Villarreal.

Alexsandro (5,5) : Le défenseur brésilien a alterné le très bon, comme ce sauvetage quasiment sur la ligne ou des interventions tranchantes dans la surface, et le moins bon avec des ballons rendus plein axe au milieu adverse, qui n’en a finalement pas profité. Mais cela aurait pu coûter cher.

Thomas Meunier (6,5) : Pour sa deuxième titularisation consécutive, l’international belge a bien géré son couloir défensivement, malgré quelques situations d’infériorité numérique. Et offensivement, il est passeur décisif sur l’égalisation lilloise.

Benjamin André (7) : Le capitaine lillois faisait son retour dans le onze et il a été très important dans sa capacité à tenir le ballon sous pression, sa gestion des moments mais aussi sa force dans les duels au sol et aériens pour prendre le dessus sur l’entrejeu adverse. Il obtient également le penalty, certes très généreux.

Ngal’ayel Mukau (7) : De retour de blessure, le milieu congolais a aussi réalisé une belle partition, avec beaucoup de volume et d’activité pour venir agresser et gratter des ballons dans les pieds adverses mais aussi remonter sur plusieurs sorties de balle.

Gabriel Gudmundsson (6,5) : L’international suédois a livré un duel sans merci avec Molina dans le couloir, les deux se rendant coup pour coup. Mais il n’a pas cessé d’être actif sur le côté gauche et il finit avec une passe décisive, peut-être involontaire, sur le troisième but lillois.

Edon Zhegrova (7,5) : Entré à la place de Rémy Cabella, blessé, l’international kosovar s’est directement mis dans le ton de la partie pour venir provoquer Javi Galan dans le couloir mais surtout travailler défensivement. Et puis c’est de son pied gauche que vient la révolte avec un superbe but pour l’égalisation.

Mohamed Bayo (5,5) : Le numéro 27 disputait son premier match de Ligue des Champions et il n’a pas été ridicule, notamment dans son jeu dos au but où il a permis de faire remonter le bloc à plusieurs reprises. Et il aurait même pu être passeur décisif sur une belle remise de la tête pleine surface vers Zhegrova en fin de première mi-temps. Un match ingrat mais bien réalisé par l’international guinéen.

Matias Fernandez-Pardo (5,5) : Il connaissait également sa première titularisation de la saison et il s’est immédiatement fait remarquer avec une percée proche de faire mouche dès l’entame. Volontaire et virevoltant sur certaines actions, il s’est éteint petit à petit mais sans se détacher du travail collectif.

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