Foot National
·7 gennaio 2025
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La direction de l'arbitrage de la Fédération a reconnu une erreur sur la gestion de la violente semelle au visage du Monégasque Wilfried Singo sur le portier parisien Gianluigi Donnarumma le 18 décembre dernier, à Louis-II.
Son analyse était attendue. Comme chaque lendemain de journée de Ligue 1, la direction de l'arbitrage de la Fédération française de football (FFF) est revenue sur les situations controversées du seizième épisode, dont la violente semelle du Monégasque Wilfried Singo sur le portier parisien Gianluigi Donnarumma lors du match avancé du 18 décembre dernier à Louis-II (voir ci-dessous).
Pour la direction de l'arbitrage, "cette situation est très difficile à juger, entre imprudence, absence d’intentionnalité, manque de considération et mise en danger de l’intégrité physique du gardien de but. À l’analyse des images, l’attaquant joue certes le ballon, mais son action met en danger l’intégrité physique du gardien de but, eu égard à la semelle venant directement impacter le visage de ce dernier", relève-t-elle. Dans cette optique, "cette situation relève donc d'une faute grossière au sens de la loi 12", estime-t-elle encore. Selon elle, l'arbitre de la rencontre François Letexier aurait dû se servir de l’assistance vidéo "pour modifier la décision initiale et exclure le joueur fautif." Averti quelques minutes plus tôt dans la rencontre, Wilfried Singo était effectivement passé entre les mailles du filet sur cette action et avait donc pu terminer la partie. Au contraire de Gianluigi Donnarumma, victime d'un traumatisme facial et remplacé par sa doublure Matvey Safonov.
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