PSG/Arsenal – Al-Khelaïfi « j’ai presque eu un arrêt cardiaque » | OneFootball

Nasser Al-Khelaïfi, président du Paris Saint-Germain, s’est arrêté au micro de CBS Sports Golazo après la victoire 2-1 (3-1 au cumulé) face à Arsenal (résumé vidéo PSG/Arsenal) ce mercredi au Parc des Princes dans le cadre des demi-finales retours de la Ligue des Champions 2024-2025 (finale le 31 mai). Il a évoqué une soirée très stressante, mais aussi un parcours remarquable avec toujours de la confiance malgré les difficultés.

Al-Khelaïfi « on a toujours eu foi en nos joueurs et notre coach. »

Quels sentiments pendant la demi-finale ?

C’était stressant, j’ai presque eu un arrêt cardiaque (rires). Mais c’est un superbe sentiment d’être en finale, après une longue et difficile saison. A un moment, on était presque éliminé en phase de ligue. On devait gagner les 3 derniers matchs, on perdait contre City 0-2 et on est revenu. C’était un tirage difficile, des matchs compliqués.

Mais l’équipe a progressé, on a toujours eu foi en nos joueurs et notre coach, ainsi que nos supporters. Ils sont exceptionnels. On est allé d’une presque élimination en phase de ligue à la finale.

Vous imaginez à ce moment être en finale ?

Je ne pensais pas à la finale, jusqu’à la qualification en playoff. On a fait nos objectifs match par match. Honnêtement, l’objectif n’était pas encore d’aller en finale. Mais aujourd’hui, nous y sommes. Il ne reste qu’un match. C’est un sentiment extraordinaire.

Al-Khelaïfi « Ce sont des jeunes, qui ont faim. »

Heureux de la progression amenée par Luis Enrique ?

Bien sûr ! Même quand on était proche de l’élimination, je peux promettre que l’on ne pensait pas à changer de projet. On croyait en notre plan. On continue avec, peu importe le résultat. Même si on avait perdu en demi-finale, en quart, ou en 8e. On croit en notre coach et en nos joueurs. Ce sont des jeunes, qui ont faim.

L’équipe la plus jeune de l’histoire en finale ?

C’est le projet, des jeunes joueurs qui ont faim, qui se battent pour l’équipe, qui pourraient mourir pour le maillot, le club. On l’a vu aujourd’hui.