Yacine Adli : « Bordeaux, c’était un truc qui était hyper prévisible… En fait, une pomme pourrie, elle pourrit le panier » | OneFootball

« Le climat n’a jamais été sain. Pour un joueur, c’est dur. On pointe souvent du doigt des choses qui sont mal faites, mais c’est partout. Cependant, quand le climat général n’est pas bon… En fait, une pomme pourrie, elle pourrit le panier, bah là c’est pareil. Du cuisinier qui est rongé de venir le matin, à l’entraineur… C’est tout le monde, un mood général. Quand tu rentres dans le Château du Haillan, c’est gris, je te jure… A ce moment-là, c’était wahou… L’atmosphère était dure à respirer… Quand tu rentrais dans le Château à ce moment-là, c’était dur… »

« L’état de Bordeaux actuel, le truc c’est que… Bordeaux, c’est un gros club, tu as beaucoup de gens derrière. Tu as les supporters qui n’ont jamais lâché, qui ont toujours suivi… Mais c’était un truc qui était hyper prévisible… Chaque année, tu voyais qu’on était en train de descendre un peu plus. Et puis même, à chaque fois que j’étais à Bordeaux, il y avait des problèmes financiers. Donc tu démarres le mercato, tu ne peux pas recruter, tu dois passer la DNCG. Tu arrives à la fin du mercato, tu ne sais pas vraiment qui est ton coach, tu ne sais pas avec quel effectif tu pars… Tu as déjà deux mois de retard sur les autres équipes. Cela crée une instabilité… C’est compliqué. Si l’équipe n’a pas vraiment un mental en acier, c’est dur ».

« Cette atmosphère n’aide pas, ce qui fait que chaque année tu descends et tu t’enfonces »

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