John Williams : « J’ai eu le virus des Girondins qui est arrivé, et ça a été une belle histoire d’amour pour moi » | OneFootball

« Amiens, désormais, cela fait dix ans qu’on travaille, avec mon équipe, là-bas. Tout est en place, c’est plus une question de curseur à ajuster. Ici, il a fallu tout remettre en place, donc ça a pris beaucoup de temps. Mon rôle est justement de mettre en place les hommes. Ça a été de nommer le coach avec le staff, Bruno Irles et Dado Prso. Ensuite, tous les adjoints. Ensuite, les joueurs. Au début, c’était surtout une question d’hommes, comment choisir des personnes pour être performant dans ce projet-là et dans un budget donné »

« Le premier critère, c’est la passion des Girondins. Je l’ai déjà dit, mon frère Jack a joué aux Girondins, et moi je l’ai beaucoup accompagné à l’époque sur les bords des terrains. J’ai eu deux mentors qui ont été exceptionnels ici, Pierrot Labat, et Jean-Jacques Gresser. Ils m’ont permis ensuite de fréquenter Elie Baup. Ces deux personnes-là étaient très importantes pour moi, et d’avoir grandi à Bordeaux, à Lormont exactement… J’ai eu le virus des Girondins qui est arrivé, et ça a été une belle histoire d’amour pour moi. Donc quand l’opportunité s’est présentée, on n’a pas réfléchi avec Jacques, avec David, et on a foncé ».

Saiba mais sobre o veículo