ASSE : l'énorme promesse d'Horneland pour la Ligue 2 | OneFootball

L'ASSE reléguée en Ligue 2 après une saison particulièrement compliquée, va devoir remonter un nouveau projet avec pour architecte, le Norvégien Eirik Horneland.

Arrivé au coeur de l'hiver pour remplacer un Olivier Dall'Oglio visiblement à court de solutions Eirik Horneland a fait face à un défi de taille : maintenir une équipe pas taillée pour la Ligue 1 avec une défense en grande difficulté. Une mission visiblement trop compliquée, les Verts ayant terminé à une triste 17e place en championnat.

Un an après avoir réussi à remonter en Ligue 1, les Stéphanois retournent donc au niveau inférieur, ce qui n'inquiète visiblement pas le technicien norvégien. Dans les colonnes du quotidien Bergens Tidende, il revient sur cette déception tout en affichant sa détermination : "Je vis une aventure incroyable à Saint-Étienne, même si notre saison s’est terminée par une relégation en deuxième division. J’avais conscience avant de venir que ce serait difficile de se maintenir", a-t-il expliqué, dans des propos traduits par Peuple Vert.

"Nous allons remonter"

Lors de dernière aventure avec Brann, il avait vécu une relégation avant de remonter dans l'élite du football norvégien pour terminer à une très belle deuxième place, et c'est de cela qu'il compte s'inspirer : "Nous allons remonter et construire une nouvelle équipe, comme on l’a fait avec Brann en 2022", a-t-il lancé, une sacrée promesse.

"J'ai vécu des moments forts"

Enfin, il a livré un jugement très élogieux du niveau de la Ligue 1, en revenant notamment sur sa double confrontation face au Paris Saint-Germain : "Le niveau de la première division française est beaucoup plus élevé qu’en Norvège. Les meilleures équipes de Ligue 1, en particulier, ont un niveau extrêmement élevé.  J'ai vécu des moments forts en affrontant deux fois le Paris-Saint-Germain, qui s’apprête à jouer la finale de la Ligue des Champions contre l’Inter Milan", a conclu le Scandinave.

En attendant, l'été promet d'être chaud chez les Verts, car le coach, qui n'a pas véritablement pu choisir son effectif l'an dernier, va certainement imposer certaines idées à sa direction. Puisse-t-elle l'écouter... en sortant le carnet de chèques.

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