Lille : une offre indécente d'Arabie Saoudite pour Genesio ! | OneFootball

Bruno Genesio va-t-il se laisser tenter, à la surprise générale, par un challenge en Arabie Saoudite qui lui permettrait d'empocher un gros chèque ? En tout cas, une véritable proposition serait sur la table.

Bruno Genesio, actuellement à la tête de Lille qu'il essaie d'emmener une nouvelle fois en Ligue des champions, fait l’objet d’une convoitise spectaculaire. Une offre colossale venue tout droit d’Arabie Saoudite viserait l'ancien coach de l'OL.

L’information, révélée par Mohamed Toubache-Ter, a provoqué un petit séisme en coulisses. D’après ses sources, un club de la Saudi Pro League aurait proposé un véritable « pont d’or » à l’ancien coach de Rennes et de l’OL.

Arrivé à Lille à l'été 2024 pour succéder à Paulo Fonseca, Genesio a signé un contrat courant jusqu’en 2026. Pour autant, son avenir pourrait se retrouver en suspens dès cet été. Bien qu’aucun montant n’ait été révélé, l’offre saoudienne s’inscrit dans une stratégie offensive des clubs de la région, qui n’hésitent plus à sortir les gros chèques pour attirer des noms connus du football européen.

Genesio plutôt réticent face au challenge saoudien ?

La rumeur tombe d’ailleurs quelques heures après l’annonce du départ de Jorge Jesus d’Al-Hilal, un des poids lourds du championnat saoudien, qui pourrait bien voir en Genesio son prochain homme fort.

Pourtant, malgré l’attrait financier, Genesio ne semble pas disposé à céder si facilement. L’entraîneur de 58 ans s’épanouit à Lille, où il réalise une belle première saison. Son équipe est cinquième de Ligue 1, à seulement deux points de l’OM, avec encore deux journées décisives à jouer. Le technicien français, reconnu pour sa gestion humaine et ses compétences tactiques, a également mené le LOSC à une campagne européenne encourageante.

Un départ dès cet été serait donc une véritable surprise. D’autant que Genesio, qui a connu une seule expérience à l’étranger en Chine avec le Beijing Guoan, reste attaché à ses ambitions sportives en Europe. Des éléments comme la barrière linguistique – il apprend encore l’anglais – ou son engagement personnel avec le projet lillois pourraient le pousser à décliner l'offre.

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