Le sport doit aussi se conjuguer au féminin | OneFootball

À l’occasion de la journée internationale du sport féminin, notre partenaire AÉSIO mutuelle s’est penché, avec OpinionWay, sur la pratique sportive des femmes dans le cadre d’une étude inédite révélée ce vendredi.

Si 2024 a été une année historiquement marquée par le sport dans l’hexagone grâce aux Jeux Olympiques, près de quatre femmes sur dix (38%) ne pratiquent toujours pas ou quasiment jamais de sport. Plus d’une sur deux souhaiterait pourtant en pratiquer plus souvent.

Seulement une femme sur deux déclare avoir été incitée à pratiquer du sport dès le plus jeune âge, contre 65% des hommes, révélant certains stéréotypes de genre d’une société passée. Les plus jeunes générations affirment quant à elle un accès au sport plus égalitaire (70% des femmes âgées de moins de 35 ans et 75% des hommes du même âge déclarent avoir été incités à la pratique sportive dès l’enfance). L'AS Saint-Étienne permet, dès le plus jeune âge, une approche ludique du football grâce à son école de foot féminine jusqu'à l'excellence avec son équipe professionnelle évoluant en Arkema Première Ligue.

Dans un monde où la sédentarité, les maladies chroniques et les problèmes de santé publique qui en découlent explosent, la pratique sportive est aujourd’hui essentielle dans l’amélioration globale de l’état de santé physique et mentale des Français, explique AÉSIO mutuelle. Les Françaises semblent en avoir conscience, car elles sont près de 9 sur 10 à estimer que la pratique sportive est nécessaire pour être en bonne santé physique et mentale.